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  • cdipéron

Poème du mois : Médiocrité


Je un peu timide suis pour dire français pas correct mais malheureux est-il pour écrire sans études de lettres. Ceux là, passant par là.

Heureux ou Malheureux chiffon vert à la main, visage teint, sont attristés, effrayés mais pas assez de bonté. Pour savoir écrire, il faut réussir. Il faut accomplir, sinon agonir. Malheureux chiffon vert sous des chiffres infâmes qui fendent les âmes sans jamais pleurer, serait-ce le diable qui s’empare des âmes sous forme d’un marché ? Que c’est laid. Sous des lettres sales débutant le marché. Sous des astérisques avec des risques. Sous toute forme d’inégalité, je te nomme : Médiocrité.

Homme sans marché n’appartient pas à la société mais qu’est-ce que le marché pour qu’en somme, tuer signifierait égalité. Homme, qu’est-ce donc que ces atrocités. Vont-elles s’arrêter ? Il ne faut jamais dire jamais mais exceptionnellement c’est arrivé. Tenté par le marché. Le désir rime avec souffrir. Alors souffrance jusqu’à outrance pour que des personnes cachées puissent en profiter. Haïr dans l’ombre ces personnes cachées n’est que futilité. Dévoiler les faits peut arranger mais pas quand ces personnes ont de l’autorité. Chiffon vert à l’air joli mais penses-y, à ce qu’il a commis.

L’Histoire, ce vaste miroir qui ne peut exister sans des lettres, sans des sons, sans communication, qui finit par être oubliée. Je vais vous la conter. Il était une fois un passant qui pensa ces mots : « je suis un peu timide pour dire : qu’est ce que médiocrité ... ».


Maxime Courte

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